Si vous transférez vos films vous-même, la qualité du résultat dépend pour une large part, d’un certain nombre de facteurs liés à la conception même du matériel de prise de vues et de projection ainsi qu’aux conditions dans lesquelles il se trouve présenté et qui a évolué tout au long de l’histoire du film super 8. En voici les dix principaux :
La prise de vue est une création artistique qui doit cependant respecter un certains nombres de règles. La composition d’un plan doit respecter certains codes, pas nécessairement très strictes, afin de garder le spectateur attentif.
A l’exception du film de famille qui est réaliser sur le vif, la préparation d’un film doit être réalisée avec soin étant les couts engendrés par les différentes charges comme la location de matériel, le déplacement et le prix de la pellicule.
Afin d’éviter de gâcher la précieuse pellicule, il est préférable de connaitre sur le bout des doigts les dix commandements du cinéaste amateur. En respectant ces quelques conseils de base vous réussirez vos plans et éviterez de jeter à la poubelle plusieurs mètres de pellicule super 8.
Aujourd’hui à réaliser à l’aide d’un logiciel de montage virtuel, le montage cinématographique était autrefois extrêmement complexe à réaliser. Grâce à l’apparition de l’informatique et du numérique, c’est devenu d’une simplicité enfantine et malheureusement d’une médiocrité crasse. La simplicité d’usage entraine la médiocrité du résultat en mettant des instruments de qualité à la portée du premier crétin venu.
Le cinéma et la photo, c’est avant tout un jeu avec la lumière. L’éclairage d’une scène est le point le plus important. Le matériel d’éclairage pour les films est donc le poste le plus important, avant la caméra. Avec la meilleur caméra du monde vous ne pourrez rien filmer dans le noir.
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